Questions / Réponses

AccueilVos questionsQuestions / Réponses

Questions / Réponses

Vos questions fréquentes

Les questions que vous nous posez le plus souvent sur notre site Internet

► Pourquoi payer pour faire du bénévolat ?
► Combien va me coûter une mission ?
► Qui doit payer ?
► Y a-t-il des missions moins chères ?
► Quelles sont les conditions des missions ?
► A quel moment partir en mission humanitaire ?

Pourquoi payer pour faire du bénévolat ?

Votre participation contribue directement à la vie des populations indigentes. La principale question que l’on se pose, quand on fait un don dans l’humanitaire, est : « est-ce que l’argent que je donne va aux populations concernées ? »

Les Cœurs d’Or est une association entièrement indépendante et libre. A ce titre, et en payant pour faire une mission humanitaire sur le terrain, vous voyez directement où va votre argent.

Votre participation sert à financer votre mission humanitaire sur le terrain mais permet également, aux populations que nous aidons, de vivre.

Cette aide est directe, par les soins et médicaments gratuits apportés aux populations, mais aussi indirecte, car nous faisons travailler sur place de nombreuses personnes grâce à votre participation (repas, transports, traducteurs, etc.).

Votre participation est utile directement aux populations !

De plus, nous ne recevons pas de subventions de la part des Etats que nous allons aider car les pays pauvres et en voie de développement font appel aux Cœurs d’Or pour les aider.

Le prix de votre participation à nos missions est donc calculé au plus juste et dans des conditions raisonnables de vie « humanitaires ». Cette participation est déductible de vos impôts sur le revenu. Vous ne payez en réalité que 34 % de la somme totale.

Notre expérience ainsi que notre expertise du terrain nous permettent de vous proposer les meilleures solutions à vos rêves de mission humanitaire.

Combien va me coûter une mission ?

Coûts d’une mission

Il est important de noter que votre participation à cette mission humanitaire est entièrement bénévole et que tous les frais de mission sont pris en charge entièrement par le volontaire bénévole.

Le volontaire bénévole peut soutenir l’association dans l’organisation des missions et actions humanitaires en faisant un don.

Ce don est déductible des impôts sur le revenu à hauteur de 66% (Articles 200 et 238 bis du Code Général des Impôts).

Notre engagement :
- Une assurance de voyage et médicale
- La réception par notre équipe sur place et l’organisation de votre mission en toute sécurité
- La logistique et les médicaments dans le cas d’une mission médicale
- L’accompagnement de traducteurs sur place
- Vos transports sur place
- L’hébergement, souvent dans une famille d’accueil ou dans une « guest house » locale (vivre avec l’habitant permet de mieux comprendre les choses)
Les repas sur place (petit déjeuner, déjeuner et dîner) en fonction des cultures locales.
- Vos boissons (non alcoolisée) sur place vous permettant de faire votre mission dans des conditions sanitaires sécurisées.
- Une assistance sur place et 24h/24h par notre équipe locale ou nos correspondants
- Le transport terrestre de l’aéroport international d’arrivée vers votre destination finale ainsi que vers les sites de votre mission.

Votre billet d’avion n’est pas compris dans votre participation, car cela varie en fonction du coût des transports aériens et du prix du pétrole !

Notre organisation vous assiste pour la réservation de vos billets d’avion.

En effet, Les Cœurs d’Or fait la réservation de vos billets d’avion, avec l’aide de notre prestataire de voyage spécialisé Air France .

Aucune autre organisation ne pourra être envisagée.

Qui doit payer ?

Pensez-vous toujours que le volontariat devrait être gratuit ? Nous voyons encore des bras qui se lèvent : « OK, mais pourquoi c’est moi qui doit payer l’addition ? ».
Examinons ensemble les autres possibilités.
Le projet sur place ?

Pas vraiment. Si les projets ont recours aux bénévoles, c’est justement parce qu’ils n’ont pas l’argent pour payer du personnel pour accomplir le travail, ni pour du personnel local qui se contenterait d’un salaire inférieur aux coûts de votre mission. La seule exception sont les missions qualifiées dans le cadre de la coopération internationale, voir plus bas.

L’organisme de volontariat lui-même ?

De plus en plus rarement. C’est vrai qu’il reste encore quelques organismes religieux qui reçoivent des subventions de leur communauté, mais elles ne suffisent clairement pas à financer totalement le projet. Dans le meilleur des cas, le bénévole paie un peu moins cher.
Les institutions publiques ?

On chauffe déjà un peu plus. En effet, l’Etat et l’Union Européenne déploient des moyens financiers considérables pour participer au financement de divers services de volontariat. En retour, ils demandent

• Un engagement de longue durée. Rares sont les missions subventionnées de moins de 6 mois.
• De passer par un processus de sélection.

Obtenir une place pour un service civique à l’étranger, un volontariat de solidarité internationale ou un poste dans un autre service de volontariat règlementé ressemble à s’y méprendre à une recherche de stage ou de travail. La concurrence pour les places disponibles peut être féroce, et beaucoup de candidats échouent.
Il ne reste donc plus que vous pour couvrir les frais de votre voyage humanitaire ou de votre écovolontariat. C’est d’autant plus vrai si vous voulez vous engager pour seulement quelques semaines ou quelques mois.

Mais gardez la tête haute ! Des milliers de bénévoles réussissent chaque année à financer une mission en Afrique, Asie ou Amérique du Sud.

Y a-t-il des missions moins chères

Bien sûr il ne faut pas mettre tous les projets dans le même sac. Comme partout, il y a des différences de prix significatives entre les projets, même dans le cadre d’un volontariat libre.

Comme souvent, cela dépend de vos besoins individuels. Plus vous êtes flexible, autonome et accommodant, moins ce sera cher, même si vous devez oublier l’idée d’un écovolontariat gratuit ou d’une mission humanitaire sans frais.

On peut faire le parallèle avec une prestation de services : un cours de langue individuel et personnalisé dans une langue exotique dispensé par un professeur formé et expérimenté coûtera bien plus cher qu’un cours d’anglais standardisé avec un professeur en cours de formation et une douzaine d’autres personnes à une heure fixe.

Si l’organisme de volontariat de votre choix est géré lui-même par des bénévoles, cela peut effectivement faire baisser le prix.

En revanche, vous devez vous attendre à des horaires de bureau restreintes, un choix limité et peu d’aide pour la logistique de votre expérience bénévole.

A l’inverse, le salaire d’une équipe de support à plein temps sur place fait monter les prix.

Notre conseil : vérifiez bien ce qui est compris ou non dans le prix et comparez ensuite.

Quelles sont les conditions des missions ?

Pour partir sur un chantier international, il faut généralement avoir au minimum 16 ans et dans certains cas, il n’existe aucune limite d’âge.

Si vous souhaitez partir pendant une période de vacances, cette forme d’engagement solidaire s’avère adapté : une mission dure en moyenne 2 à 3 semaines.

Cependant, la participation à un chantier a un coût parfois important. En tant que bénévole, vous ne recevez aucune indemnité et les frais de transport et de visa seront à votre charge.

Attention, les frais d’inscription au chantier n’incluent pas systématiquement le coût de l’assurance voyage.

A quel moment partir en mission humanitaire ?

Tout dépendra du temps que tu as et que tu souhaites consacrer à ta mission.

Si tu es très occupé mais que tu aimerais néanmoins donner un peu de ton temps à ceux qui en ont besoin, tu peux très bien partir pendant tes vacances. Tu seras alors investi d’une mission courte mais toute aide est précieuse !

Si tu n’as pas envie de te lancer dans la vie active directement après tes études, tu peux aussi choisir de faire une pause et de la consacrer aux autres.

Cela te permettra de découvrir un nouveau pays, une nouvelle culture, d’apprendre une langue inconnue ou de perfectionner ton niveau et tout ça en aidant les autres ! C’est tentant tu ne trouves pas ?

Tu travailles dans ton entreprise depuis plus d’un an ?

Tu aimerais faire une petite pause ? C’est possible car tu peux demander à prendre un congé de solidarité internationale.

Ce congé peut durer de 2 semaines à 6 mois pendant lesquels tu ne seras pas rémunéré mais quoi de plus rémunérateur qu’un sourire reconnaissant ?

Il faut aussi que tu le saches, si tu traverses une période de chômage, tu peux aussi partir en mission humanitaire à l’étranger et continuer à toucher tes allocations à condition que tu sois toujours en recherche d’emploi. Une bonne occasion d’occuper son temps non ?

A présent, tu as quelques pistes qui pourront te permettre de cibler quelques organismes et de te lancer pour une aventure humaine dont tu te rappelleras sans doute toute ta vie !

Recherche